À l’occasion de la Journée mondiale de la santé mentale, mardi 10 octobre, j’ai posé une « QAG » (Question au Gouvernement) dans l’Hémicycle de l’Assemblée nationale en insistant sur le fait que la santé mentale est un enjeu majeur de santé publique, ce qui est encore plus vrai pour les enfants et les adolescents.
Selon Santé publique France, un jeune sur cinq souffre de troubles dépressifs, et cette population es en forte progression depuis la crise sanitaire.
L’an dernier, le président de la République a réaffirmé que la santé mentale devait être au cœur de notre stratégie de santé publique. Début 2023, les Assises de la pédiatrie et de la santé de l’enfant ont été engagées. En janvier dernier, j’ai déposé une proposition de loi qui vise à refonder le cadre de la santé mentale des enfants et adolescents.
Il nous faut poursuivre nos efforts pour améliorer l’attractivité des carrières, augmenter l’offre de soins et réduire les inégalités entre les territoires.
Pour voir ma QAG et la réponse du gouvernement, cliquez sur ce lien.
📰 TRIBUNE – Mardi 10 octobre, j’ai cosigné une tribune collective publiée dans LE MONDE : « Il faut faire de la santé mentale une grande cause nationale ».
Avec des associations, élus et acteurs du secteur, nous appelons à faire de la santé mentale une priorité des politiques de santé publique afin de libérer la parole, de combattre les préjugés et d’adresser un message d’espoir à des millions de Français.
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