Ce vendredi 10 mars à la Salle de l’Horloge, à #Gramat, j’ai ouvert notre réunion publique sur la santé mentale des enfants et adolescents.
L’occasion de présenter ma proposition de loi avant de lancer les échanges en présence de nombreux professionnels de santé et citoyens du Lot.
Alertée par différents acteurs de terrain, dont l’Association des psychiatres de secteur infanto-juvénile, j’ai déposé, le 17 janvier dernier, une proposition de loi visant à refonder l’architecture générale de la pédopsychiatrie autour d’une dynamique de secteur élargi.
Cela fait 50 ans que les secteurs en psychiatrie de l’enfance ont été créés et la dernière circulaire sur le sujet date d’une trentaine d’années. Il y a urgence à agir !
Parce que cette filière de soins ne répond pas aux besoins actuels, qui ont augmenté notamment, mais pas seulement, depuis la crise sanitaire.
Parce qu’aujourd’hui en France, on estime que deux à trois millions de jeunes de moins de 19 ans souffrent de troubles mentaux alors qu’il n’y a que 700 pédopsychiatres en exercice.
Parce que garantir l’accès des jeunes générations à une offre de soins adaptée en matière de santé mentale est crucial !
Retrouvez l’article de La Dépêche sur ma réunion publique :